Annick Bilodeau
© Photo courtoisie CKAJ
Les médias sont essentiels. Un organisme ou une personne ou un fait dont personne ne dit mot, c’est un peu comme s’il n’existait pas. Cela va de soi que les plus connus sont ceux dont on parle le plus.
Lors d’une entrevue récente à CKAJ, je me suis demandé si, au-delà de l’image publique, nous connaissions vraiment la personne qui nous accueille pour une entrevue. Un exercice qui vaudrait la peine d’être fait pour toutes les rencontres avec ces « gens des médias » envers lesquels nos attentes sont plus grandes que notre compréhension quand il y a absence.
Invitée à l’émission Simplement Bilodeau, à titre de présidente du Comité des candidatures de l’Ordre du Bleuet, j’étais curieuse de savoir ce qui motive ce bel enthousiasme pour la radio communautaire. J’ai osé poser la question à Annick Bilodeau.
Originaire de Kénogami, elle a multiplié les expériences en différents domaines, incluant la radio qui demeure le cœur de sa passion. Pourquoi la radio communautaire? En 1997, sensible à la montréalisation des ondes qui rogne l’espace des émissions produites en région, Annick fait ses débuts au sein de la Coopérative des artisans Radio-Soleil.
Convaincue de la nécessité de conserver nos médias de proximité, depuis plusieurs années elle est de tous les combats afin d’assurer la bonne marche et la survie de CKAJ 92,5. « Le pouvoir de décision de cette entreprise radiophonique afin de mieux répondre aux besoins multiples des gens de chez nous autant sur le plan de la diversité musicale qu’au niveau des différents services offerts à la communauté » est ce que j’apprécie le plus, confie-t-elle.
Sa préférence? « Les entrevues axées sur l’intérêt humain, mettre en lumière mes invités et prendre le temps pour le faire. » C’est d’ailleurs ce que j’ai ressenti au cours de nos 15 minutes d’entretien sur les ondes.
Aider et accompagner les personnes en difficulté en lien avec des problèmes de santé mentale font partie de ses principales préoccupations. Pour toucher un maximum de personnes, avec des intervenants qualifiés, avec la collaboration précieuse de Deuil 02 et le Centre de prévention du suicide, Annick coanime au 92,5 les chroniques De l’ombre à la lumière et Célébrez la vie! C’est sa façon à elle de rendre service à sa communauté et de redonner à la collectivité.
« J’aime l’humain d’abord et avant tout et faire œuvre utile. »
Simplement Bilodeau! Vraiment ? Je dirais : Formidablement Bilodeau.
Lors d’une entrevue récente à CKAJ, je me suis demandé si, au-delà de l’image publique, nous connaissions vraiment la personne qui nous accueille pour une entrevue. Un exercice qui vaudrait la peine d’être fait pour toutes les rencontres avec ces « gens des médias » envers lesquels nos attentes sont plus grandes que notre compréhension quand il y a absence.
Invitée à l’émission Simplement Bilodeau, à titre de présidente du Comité des candidatures de l’Ordre du Bleuet, j’étais curieuse de savoir ce qui motive ce bel enthousiasme pour la radio communautaire. J’ai osé poser la question à Annick Bilodeau.
Originaire de Kénogami, elle a multiplié les expériences en différents domaines, incluant la radio qui demeure le cœur de sa passion. Pourquoi la radio communautaire? En 1997, sensible à la montréalisation des ondes qui rogne l’espace des émissions produites en région, Annick fait ses débuts au sein de la Coopérative des artisans Radio-Soleil.
Convaincue de la nécessité de conserver nos médias de proximité, depuis plusieurs années elle est de tous les combats afin d’assurer la bonne marche et la survie de CKAJ 92,5. « Le pouvoir de décision de cette entreprise radiophonique afin de mieux répondre aux besoins multiples des gens de chez nous autant sur le plan de la diversité musicale qu’au niveau des différents services offerts à la communauté » est ce que j’apprécie le plus, confie-t-elle.
Sa préférence? « Les entrevues axées sur l’intérêt humain, mettre en lumière mes invités et prendre le temps pour le faire. » C’est d’ailleurs ce que j’ai ressenti au cours de nos 15 minutes d’entretien sur les ondes.
Aider et accompagner les personnes en difficulté en lien avec des problèmes de santé mentale font partie de ses principales préoccupations. Pour toucher un maximum de personnes, avec des intervenants qualifiés, avec la collaboration précieuse de Deuil 02 et le Centre de prévention du suicide, Annick coanime au 92,5 les chroniques De l’ombre à la lumière et Célébrez la vie! C’est sa façon à elle de rendre service à sa communauté et de redonner à la collectivité.
« J’aime l’humain d’abord et avant tout et faire œuvre utile. »
Simplement Bilodeau! Vraiment ? Je dirais : Formidablement Bilodeau.
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