© Photo Christiane Laforge
La neige d'octobre n'est plus si bienvenue que jadis.
Pour l'enfant d'hier, elle était comme des baisers doux, un peu mouillés, plein de promesses festives et de batailles épiques autant que joyeuses.
Lors des heures amoureuses, elle présageait des tempêtes espérées pour garder captif mon François Paradis. Puis, femme de labeur, les hivers sont devenus trop longs dans ce pays privé d'été.
Pour l'enfant d'hier, elle était comme des baisers doux, un peu mouillés, plein de promesses festives et de batailles épiques autant que joyeuses.
Lors des heures amoureuses, elle présageait des tempêtes espérées pour garder captif mon François Paradis. Puis, femme de labeur, les hivers sont devenus trop longs dans ce pays privé d'été.
Marcher dans la neige du 23 octobre 2009 © Photo Christiane Laforge
La neige d'hier fut à peine tolérée. Alors, de la voir s'attarder, tout ce vendredi de soleil promis, m'exaspérait dans mes pas glissants lors de la montée et descente de mes 3,3 km quotidiens de la grande côte du rang Saint-Joseph.
Et voilà que je découvre sur mon mur de Facebook cette invitation à lire le texte de Jean-François Caron, une lettre adressée à son fils Damir en lien avec cette première neige d'octobre 2009 en terre saguenéenne. (Voir ici)
Elle me rend la mémoire de l'enfance d'Ariel qui m'inspirait ce sentiment intense exprimé dans cette lettre. Je l'ai lue une seconde fois, totalement réconciliée avec la neige d'octobre. La beauté est dans l'œil de celui qui regarde.
Et voilà que je découvre sur mon mur de Facebook cette invitation à lire le texte de Jean-François Caron, une lettre adressée à son fils Damir en lien avec cette première neige d'octobre 2009 en terre saguenéenne. (Voir ici)
Elle me rend la mémoire de l'enfance d'Ariel qui m'inspirait ce sentiment intense exprimé dans cette lettre. Je l'ai lue une seconde fois, totalement réconciliée avec la neige d'octobre. La beauté est dans l'œil de celui qui regarde.
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