Le Théâtre du Saguenay, mis en faillite contre la volonté de ses membres sous le faux prétexte d'une dette dépassant le million - allégation dont la fausseté a été démontrée, chiffres à l'appui, par des membres du conseil d'administration, par le fiscaliste André Salesse et par le directeur-général qui a fermement nié les allégations du président du ca sur sa présumée démission - n'est pas encore enterré que Diffusion Saguenay, gonflé d'une subvention de 160 000 $ provenant des contribuables de Saguenay et de la promesse, qui aurait été confirmée le 22 juin, d'une aide financière de 90 000 $ du ministère de la Culture, danse sur la tombe d'une honnête coopérative composée de citoyens avant même que sonne l'hallali.
(Plutôt que de tout répéter voir texte et liens qui suivent en cliquant sur ce lien : ici )
Il y a quelque chose d'indécent dans toute cette saga. Tout comme l'a été la consultation populaire sur la nouvelle salle de spectacle, où la majorité votant pour une dépense de 10,5 M$, pour la rénovation de l'auditorium collégial, apprend sans broncher que ce chiffre , ainsi que l'expliquaient pourtant de nombreuses personnes avisées, était autant sous-évalué que le 40 M$ pour une nouvelle salle était sur-évalué.
Que faire? Puis-je cautionner Diffusion Saguenay sachant dans quel irrespect cette entité contrôlée par le pouvoir politique a été fondée? Dès lors, ne devrais-je pas renoncer aux spectacles présentés ? Dilemme!
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Je vis le même dilemme qui m'attriste!
RépondreEffacerC'est en effet très navrant, cette attitude de celui qui se croit au dessus de tout et est prêt à tout pour arriver à ses fins, serait-ce les plus vils moyens.
RépondreEffacerComment comprendre cette incohérence de vouloir à tout prix séduire les touristes de l'extérieur, des croisiéristes qui ont tout sur leurs navires pharaoniques et ceux des fabuleux kiosques touristique, qui ont probablement déjà tout trouvé de leurs escapades régionales sur internet et laisseront désert ces lieux de luxures, ne servant qu'à flatter l'égo du maître à penser.
Comment fait-il pour être si aveugle aux besoins des gens d'ici, gens des milieux culturels et sociaux, la relève et l'espoir d'un lendemain plein de promesse.
Comme il a été dit récemment, il est bien plus solitaire que solidaire des gens d'ici.
Après la pluie vient le beau temps et je veux croire que bientôt il y aura des jours plus beaux ou quelqu'un écoutera quiconque, même ceux qui penseront différemment de lui.