Tu es là.
Tu deviens à toi seul un univers. Pour quelques heures, pour une éternité il n'y a que toi au monde.
Je te respire.
Tu es toute l'odeur du monde, la seule, la toute.
Je te regarde.
Tu es toute la forme du monde. L'univers est contenu dans les lignes de ce corps mâle.
J'aime ta bouche pour ses baisers, sa faim de moi. J'aime ta nuque, le tendre creux de tes bras, tes mains, ta poitrine, ton ventre, ton sexe pour le désir que j'en ai de toucher, de caresser, de mordre, de goûter, d'embrasser jusqu'à ce que tes gémissements confirment les élans de ta chair, les spasmes du fond de toi.
Je projette sur toi tous les êtres de la terre.
Il y a des milliards d'hommes ... il n'y a que toi. Plus encore... il y a les saisons, leur beauté et toi...
Tu es tout ce que peut prendre le vent, ce que peut vêtir la neige, ce qu'enivre le vin... tout ce que réchauffe le soleil, ce que rêve la nuit. Et je suis vent, neige, soleil, nuit.
Tu deviens à toi seul un univers. Pour quelques heures, pour une éternité il n'y a que toi au monde.
Je te respire.
Tu es toute l'odeur du monde, la seule, la toute.
Je te regarde.
Tu es toute la forme du monde. L'univers est contenu dans les lignes de ce corps mâle.
J'aime ta bouche pour ses baisers, sa faim de moi. J'aime ta nuque, le tendre creux de tes bras, tes mains, ta poitrine, ton ventre, ton sexe pour le désir que j'en ai de toucher, de caresser, de mordre, de goûter, d'embrasser jusqu'à ce que tes gémissements confirment les élans de ta chair, les spasmes du fond de toi.
Je projette sur toi tous les êtres de la terre.
Il y a des milliards d'hommes ... il n'y a que toi. Plus encore... il y a les saisons, leur beauté et toi...
Tu es tout ce que peut prendre le vent, ce que peut vêtir la neige, ce qu'enivre le vin... tout ce que réchauffe le soleil, ce que rêve la nuit. Et je suis vent, neige, soleil, nuit.
Je suis tout, s'il faut l'être pour te vivre.
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