samedi 4 juillet 2015

DOUCES HEURES


Douces heures. Douceurs.

Deux jours intenses avec les petits-enfants. Les rires, les jeux.

 Élika, ma fille de mots qui a un sens de l'humour redoutable. Digne fille de son père qui saisit déjà les nuances. Enchantée de la mini-enregistreuse de journaliste, cadeau combien apprécié de Doris Maurais​ avec laquelle la rédactrice en chef de L'AMI a enregistré plusieurs entrevues.

Victor, petite boule d'énergie dont le charme lui vaut tant d'indulgence et qui précise les rangs de la famille : « Mamieke, tu es la maman de mon papa. Papili est ton amoureux et c'est pour ça qu'il est mon grand-papa; je suis le fils de ton fils et c'est comme ça que tu es ma grand-maman. »

Isyëv, mon ardente qui n'a peur de rien et me fait chavirer de ce regard si bleu inattendu. Elle saute d'une pierre à l'autre en bordure du terrain... et tombe. Larmes et douleur. Elle se blottit dans mes bras et raconte sa chute. On examine attentivement l'objet du délit. Cette roche pointue on va la bouder. On ne jouera plus dessus. Le temps de la consoler on va voir la plantation de framboisiers. Dans une journée, ses rires et ses larmes ponctuent sa passion de vivre intensément.

Calielle la souriante. Bébé de six mois qui me fait des sourires irrésistibles. Elle s'abandonne, si confiante, à tous les soins donnés. 

Arrivés hier. Repartis aujourd'hui. J'ai le cœur plein. Comme lorsque l'amour dépose dans vos bras un bouquet de roses.




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