Tonne le murmure de la mémoire. Un vent puissant la possède, la fait sienne. Elle s’abandonne au mirage de sa vie.
Le bonheur rend sourd au murmure.
Trop tard gronde la révolte. Elle s’écorche au refus. Tait la douleur. Renie la peine. Ferme les yeux ouverts sur l’inéluctable verdict : la distance ne tue pas l’être aimé. Le temps, oui.
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